Si le Cellier des Docks était une revue…
Sa ligne éditoriale, faite de dégustations, de respect du travail des vigneronnes et des vignerons, d’éthique environnementale et d’un brin d’humour est, à ce jour, inchangée.

Oh, rassurez-vous, vous retrouverez page 13 toujours les mêmes jeux de mots un peu vaseux ou page 28 les comptes-rendus de journées sur le terrain.
Non, ce qui change, c’est plutôt l’équipe de reporters qui vous concocte numéro après numéro ses meilleurs conseils et vous dégote les meilleures bouteilles.
Le fondateur, Christian, n’est pas très loin. S’il a passé la main en janvier à une nouvelle équipe pleine de talents et d’envie, il garde un œil sur l’activité de son cher magazine. Il lui arrive même encore d’enfiler le tablier du caviste pour donner un coup de main.

Pour assurer la relève, c’est à moi, son gendre et à mon père Bernard qu’il a confié les manettes des machines à imprimer. Nous nous inscrivons déjà dans la continuité, en témoigne la fidélité aux vignerons historiques. Nous tentons d’apporter un regard neuf, nos expériences respectives nous ayant menés sur des terrains variés, en France et à l’étranger, travaillant pour des revues à grand tirage ou des journaux confidentiels.


Dans notre équipe, les cavistes ont des compétences et des appétences qu’ils mettent au service de notre revue.
Ainsi, Cyril, grand amateur de spiritueux, a étoffé la gamme de whiskies, gins ou rhums, il apporte aussi sa passion pour la gastronomie et ses commentaires de dégustation sont d’une précision redoutable (à grands coups de poivre de Kampot ou de panier en osier percé, …).
Yoann, fraichement débarqué, amène un regard de sommelier fait d’accords mets et vins audacieux et d’une connaissance riche du vignoble français.
Fort d’une longue expérience de formation, la transmission fait partie intégrante de l’ADN du Cellier des Docks. Le numéro 2021 ne déroge pas à la règle avec la présence d’Olivier, apprenti au CFA de Bayonne, qui suit une formation de caviste et apprend avec nous la grande variété des cépages, des AOP ou de méthodes de vinification.
Quand il ne conclue pas brillamment les actions de l’Aviron Bayonnais par ses courses tranchantes, Aymeric, étudiant en Master 2 de commerce, suit ses études en alternance au sein du Cellier des Docks ; il y apporte rigueur, sérieux et relève le niveau de nos vannes douteuses.
Si vous nous avez déjà lu, cette nouvelle édition vous rassurera et pourrait vous étonner. Si vous ne nous connaissez pas, n’hésitez plus, ce magazine est fait pour vous !